jeudi 30 juillet 2009

Terres Perdues - Cléo

Cléo
Âge :
15 ans
Nationalité : Suisse
Ville : Fully
Statut : équivalent d'une lycéenne en seconde générale

Frère(s) et sœur(s) : Filsi
Mère : Laura - Banquière
Père : Stephan - Professeur en économie



Terres Perdues...
Les vingt-quatre descendants des Chevaliers de la Table Ronde enfin réunis. Douze jeunes filles, douze jeunes hommes. Tous enrôlés dans une légende qui les dépasse depuis des centaines d'années, et dont ils ne maîtrisent rien. Un seul homme tire les ficelles... Merlin. Mais pour combien de temps encore ?



Pour l'instant je n'ai travaillé que sur les personnages féminins - en terme d'illustration, qui seront présentés un à un.

mercredi 29 juillet 2009

Terres Perdues - Lyria


Lyria
Âge : 17 ans
Nationalité : Française
Ville : Créteil
Statut : Lycéenne en terminale L

Frère(s) et soeur(s) : Jeremy
Mère : Décédée à la naissance de son frère
Père : Décédé un an après la mort de sa femme
Belle-mère : Anna-Maria - Secrétaire


La brosse glissa dans les cheveux blonds de Lyria. Devant elle Jeremy, son frère de six ans, faisait des mimiques grimaçantes en la regardant à travers la glace. Elle sourit. Anna-Maria sa belle-mère s’était levée avec l’humeur de ses mauvais jours comme cela lui arrivait fréquemment. Tôt dans la matinée alors que Jeremy faisait ses premières tartines de confiture il avait renversé le pot sur la nappe blanche de la table. Et comme tous trois étaient en location le temps des vacances, cela supposait de racheter une nappe neuve. Les finances d’Anna-Maria étant restreintes, elle était entrée dans une colère noire après le petit garçon et l’avait giflé. Lyria s’était démenée pendant une heure pour le faire sourire et oublier la gifle cuisante. Entre-temps elle avait détendu l’atmosphère en promettant à sa belle-mère de participer à l’achat de la nappe neuve. Elle n’aimait pas Anna-Maria mais ils ne leur restaient plus qu’elle. Lors de l’accouchement de Jeremy sa mère décéda suite à des complications, elle n’avait alors qu’une dizaine d’années et n’avait pour tout souvenir que ses yeux verts. Son père s’était rapidement remarié l’année suivante mais il décéda à son tour d’un infarctus quelques temps après. Du coup Anna-Maria qui n’aimait guère les enfants s’était retrouvée avec la charge de Lyria et de Jeremy.
Néanmoins l’incident de la nappe et de la confiture ne changea pas les plans de la journée. Vers dix heures ils quittèrent Mauron où Anna-Maria avait trouvé une petite location deux pièces. Ils empruntèrent la D2 à bord de la vieille Renault 205 blanche et au bout d’une trentaine de minutes en voiture ils arrivèrent devant le château de Comper-en-Brocéliande. Le parking étant plein, Anna-Maria alla se garer sur le bas de la route un peu plus loin. Au guichet elle paya pour une visite du château seule car en début d’après-midi elle avait prévu d’aller au cinéma. Elle tint quand même à aller jeter un coup d’œil au lac derrière le château. Ses cheveux roux hirsutes voltigeaient autour de sa petite tête ronde alors qu’elle s’émerveillait devant la beauté de la nature. Jeremy, quant à lui couinait qu’il voulait aller aux toilettes et Lyria se vit dans l’obligation de l’accompagner. Quelques minutes plus tard, après avoir rejoint Anna-Maria dans la cour, elle poussa la porte du château mais visiblement elle venait de bousculer quelqu’un.
- Pardon, je suis désolée.
- Ce n’est rien, grommela un jeune homme en fourrant ses mains dans les poches de son jean.
- Messieurs, Dames, s’il vous plait ! C’est ici que commence la visite du château de Comper-en-Brocéliande. Vous ne le saviez peut-être pas mais d’après les légendes arthuriennes c’est ici que …
Mais Lyria avait déjà décroché. Le guide, un homme d’une cinquantaine d’années parlait sans conviction et elle sentait qu’il avait appris son baratin par cœur. Son esprit s’évada et elle se perdit dans la contemplation des différentes pièces du château.


Un autre univers imaginé par Lysiah. Comme si ses univers virtuels ne suffisait plus, il faut en plus qu'elle cherche à inventer des histoires, des mondes, des personnages, et des intrigues. Je ne sais pas où ça me mènera. Pas très loin sans doute... ou bien...

lundi 27 juillet 2009

A la vie !


Lysiah, quelque soit l'univers virtuel qu'elle parcours, ne craint pas la mort. Parfois suicidaire, elle gagne rapidement le front, se lançant souvent dans des combats perdus d'avance. Mais peu importe. Elle sait qu'elle reviendra. Toujours. A la pierre de bind, au cimetière, ou encore grâce à une résurrection. Pour recommencer la même chose, ou engager une autre bataille. Alors qu'est-ce que signifie la mort dans le monde virtuel ? Rien, c'est quelque chose d'impalpable, qui n'existe, à vrai dire, pas du tout. Seul un mal de résurrection peut éventuellement laisser la trace d'un trépas.


Mais il y a des combats desquels on ne se relèvera peut-être jamais. Des combats où il n'y a que deux issues. Où l'on aimerait aider l'être cher. Mais il n'y a rien d'autre à faire que d'être là, de regarder et d'attendre.
Et je ne peux espérer qu'une seule chose... gagne ce combat !
Nous serons fort pour toi.

vendredi 24 juillet 2009

Certitudes et incertitudes...


Un futur incertain... c'est la seule certitude que nous ayons.
Quel avenir avons-nous ?

mercredi 22 juillet 2009

Age of Conan - Un retour en quatre étapes...

1. On commence par un crayonné...




2. Ensuite on passe à l'encre...


3. Puis on met en couleur sur photoshop...


4. Et enfin on retire les traits...



Voilà on est enfin prêt pour s'immerger dans l'univers impitoyable d'Age of Conan, et cela donne...



Une barbare Aquilonnienne à la recherche de son passé.
Échouée sur une plage, elle n'a aucun souvenir. Qui est-elle ? Quel est son destin ?
Autant de questions dont les réponses se trouvent dans les basfonds de Tortage, au plus profond de la nuit. Si son passé est déjà écrit, son avenir est encore incertain. Quelle voie suivra-t-elle...


Un retour sur AoC pour voir l'évolution du jeu. A la release, les 20 premiers levels étaient tout simplement bluffants. Une multitude de quêtes, une multitude de personnages, un environnement ultra immersif. A part quelques bugs "normaux", pour une release c'était vraiment réussi.
Mais les choses se sont vite gâtées. Passé le niveau 40, dur dur de trouver des quêtes intéressantes, le leveling s'est fait surtout à grand renfort de mob bashing, ainsi que des rares quêtes répétables.
La promesse d'un mmorpg orienté pvp semblait non tenue. Aucun contenu hight level, que ce soit en pvp ou en pve. Dommage car ça commençait bien.
Et comme ce jeu m'avait beaucoup plût dans son aspect graphique très réaliste, aussi bien parce que le cheval ne fait pas demi-tour de manière instantanée et totalement impossible dans la réalité, que par les paysages riches et fouillés, ou encore une personnalisation des personnages très poussée, j'y suis revenue, pour 14 jours gratuits. Ben oui, autant en profiter, n'est-ce pas ?


Pour l'instant, retour avec ma Prêtre de Mitra level 76 dans la zone de Kheshatta. Et oui, je n'ai jamais réussi à avoir le set complet de cette zone. M'enfin je pense qu'il y a maintenant plus intéressant en terme de stuff. A part des lags plus ou moins importants et le camping de péons à l'entrée de la zone, c'est un gameplay très agréable à reprendre en main. Il me tarde d'aller voir les ajouts des zones pvp, avec la possibilité de construire des villes, de faire des sièges, etc.
Et puis je teste un peu la classe de barbare. C'est bourrin, c'est bien, ça me change des classes de soutient.

dimanche 19 juillet 2009

Destins croisés - Episode 1

Je soupirai, quelle nuit étrange… Mon regard se perdit par la fenêtre. L’aube pointait à l’horizon entre les deux grands immeubles de la Tour des Emissions et de l’Empire Economique, pour répandre une lueur verdâtre dans les rues. Le flot de voiture grossissait lentement, et quelques passants couraient d’une voie à l’autre sous la brume de la pollution. Je n’avais jamais aimé cette Cité, tout y transpirait le stress, l’aigreur de la vie, et les effluves âcres que rejetaient les innombrables bouches d’égouts. Comment avait-on pu en arriver là ?

Lysiah se met parfois à imaginer la vie d'une autre femme, dans un autre monde. Eléonaure. C'est comme cela que cette autre femme se nomme. Eléonaure comme Lysiah passe d'un monde à un autre. La différence ? Eléonaure ne contrôle rien. Mais on peut se poser la question, à savoir si Lysiah contrôle ses passerelles d'un univers à l'autre. Pas si sûr. Parce que Lysiah c'est moi... mais pas tout à fait, c'est un moi virtuel qui tente d'exister par sa propre histoire, indépendamment de la mienne.
Les aventures d'Eléonaure sont en cours d'élaboration. Une ébauche de la première nouvelle est déjà fini, mais beaucoup de modifications et d'ajouts doivent être apportés. La deuxième nouvelle est en cours de réflexion.
A terme ? La conception d'un univers parallèle, avec ses personnages, son histoire, et surtout son avenir.
C'est peut-être un rêve fou, mais seuls les rêves nous font avancer.

dimanche 12 juillet 2009

Team Fortress 2 - Episode 2

tmt `Lysiah ou le Pyro au féminin.
Quand l'envie d'un bon barbecue se fait sentir, Lysiah n'est jamais loin pour rôtir les fesses de ceux qui n'ont pas eu le temps de se replier. Pas de pitié pour la viande fraiche !


Hé oui, le jeu c'est ça aussi. On pense quitter le mode "bourrin" pour finalement en retrouver un autre. Hé oui, le jeu c'est plein d'illusions. Peut-être même plus d'illusions qu'au cinéma, parce qu'à l'inverse du cinéma, dans le jeu on est acteur. On se donne le rôle que l'on choisit. Alors finalement, peut-être que non, le jeu ne fait pas tellement illusion sur ce que l'on est...

mardi 7 juillet 2009

Team Fortress 2 - Episode 1

tmt `Lysiah ou le Heavy au féminin.
Elle abandonna l'arrière réservée aux Médics pour se retrouver au front, en première ligne. Quelle expérience enivrante de savoir qu'elle puisse être capable de dominer la partie tout camp confondu ! Les hauts faits d'arme s'enchainent et l'ivresse du combat la pousse à aller chercher l'ennemi chez lui, devant ses portes. Pas de pitié pour ceux qui se trouveront sur son chemin...


*Soupirs*
La frontière entre le rêve et la virtualité est-elle si palpable qu'elle en a l'air au premier coup d'oeil ? Pas si sûr...