dimanche 13 décembre 2009

Sometimes, we dream... - Episode 2


Alors qu'elle ramenait de l'eau puisée sur la place centrale, elle sentit les regards haineux se poser sur sa nuque.
Malgré les années qui s'étaient écoulées depuis son arrivée dans le village, l'attitude des villageois à son égard n'avait jamais changée. Elle faisait partie de ceux qu'on appelait les "rejetons". Venus de nul part ils étaient réputés pour être dotés de facultés particulières. Si la majorité d'entre eux communiquaient avec les animaux comme avec les humains, certains possédaient des capacités encore plus effrayantes aux yeux des gens "normaux". Elle avait entendu parler de rejetons qui étaient capables de voir dans l'avenir, de guérir les maladies par miracle, ou encore, mais beaucoup plus rare, de maîtriser une infime partie de la magie des Dieux. Ceux-là étaient la cible de véritables chasses à l'homme qui se terminaient en pendaison haute et courte devant une assemblée hystérique.
Heureusement pour elle, elle faisait partie des rejetons inoffensifs qui pouvaient comprendre le langage animal. De ce fait, la population de ce village la tolérait, même s'ils lui montraient ouvertement leur mépris pour les gens de son espèce. Et elle avait fini par s'y habituer.


Elle se dirigea vers le sud du village, là où se situait le quartier le plus miteux et qui était également le seul endroit où elle avait trouvé un toit pour se loger. Pour gagner un peu sa vie, elle offrait un abris et un repas chaud pour les gens du voyage, qui n'avaient pas les moyens de passer une nuit dans la seule autre auberge du village qui pratiquait des prix exorbitants.
Le bâton auquel elle avait attaché deux seaux d'eau remplis à ras bord pesait lourd sur ses épaules. Elle croisa la patrouille qui surveillait cette section du village et effectuait sa ronde habituelle. Elle ignora le jeune soldat qui continuait de la fixer. Ce n'était pas la première fois que quelqu'un la regardait comme ça, et ce ne serait sûrement pas la dernière.
Elle s'engagea dans une petite ruelle qui lui raccourcirait le chemin jusque chez elle. Perdue dans ses pensées, elle sursauta en entendant un raclement de gorge dans son dos. En se retournant elle vit que deux gamins occupaient la largeur de la ruelle, un bâton à la main frappant la pierre d'un air menaçant. Ces gamins se prenaient pour les terreurs du quartier, et s'amusaient à effrayer les plus jeunes, allant jusqu'à en frapper plus d'un pour les voler. Tout le monde le savait, mais personne ne faisait rien. Elle les ignora et continua sa route pour déboucher sur une mini place. Sa modeste demeure se trouvait de l'autre coté dans un renfoncement de la place, une baraque en bois coincée entre deux bâtisses à moitié délabrées.
C'est là que les deux gamins décidèrent de passer à l'action. Ils l'attrapèrent par les épaules et la firent chuter en arrière.


- Alors sale rejetone ! Qu'est-ce que tu as sur toi qui pourrait nous intéresser ?!


Ils commencèrent à la fouiller sans aucun ménagement. Encore étourdit par la chute, elle reprit ses esprits et balança son pied droit dans le nez d'un des gamins qui craqua sinistrement. Il hurla de douleur et porta ses deux mains au visage pour enrayer le sang qui giclait.


- Fracasse-lui la tête Veress ! T'as vu ce qu'elle m'a fait !


Le plus grand et plus costaud des deux reprit son bâton et le leva au-dessus de sa tête pour l'abattre férocement dans les côtes de la jeune femme. Elle en eut le souffle coupé.


"Elyss... j'ai besoin de toi..." lança-t-elle intérieurement aussi fort que possible.
"Que se passe-t-il ?"
"J'ai besoin de toi... deux gamins..."
"Je suis loin, tiendras-tu le temps que j'arrive ?"
"Oui, mais fait vite !"
"Accroche toi petite humaine."


La rejetone encaissa deux autres coups sans arriver à reprendre son souffle. Elle entendit un bruit de course dans la ruelle d'où elle était arrivée et des éclats de voix. Les deux gamins lui balancèrent encore quelques coups de pieds avant de détaler comme des lapins. Un soldat venait de mettre en déroute les deux terreurs. Elle s'adossa au mur pour reprendre ses esprits. Le soldat ramassa les affaires de la jeune femme et s'approcha d'elle. Quand il voulut lui tendre la main pour la relever elle fit un geste brusque de refus et se remit sur pied seule. Elle épousseta sa tunique bleue et resserra le lacet au niveau de sa poitrine avant de réajuster ses hauts de chausse. Alors que le soldat lui tendait ses affaires un loup surgit de nulle part pour se mettre entre lui et la jeune femme. Babines retroussés il grognait sauvagement en direction du jeune homme. C'est là qu'elle s'aperçut que c'était celui qui la regardait depuis ce matin. Il commençait à lui taper sur les nerfs.
Elle calma le loup en lui posant une main sur la tête et reprit ses affaires en évitant soigneusement de toucher le soldat.


- Si tu tiens à ta promotions soldat, tu devrais éviter de te préoccuper du sort d'une rejetone, déclara-t-elle avant de tourner le dos.


Ses cheveux, retenus en deux nattes qui partaient de ses tempes pour se rejoindre au niveau de sa nuque volèrent quelques instants dans les airs avant de retomber sur ses reins.
C'était la première fois qu'il entendait le terme "rejetone", et même s'il avait l'impression que ça sonnait de mauvais augure, qu'est-ce que ça pouvait lui faire qu'elle en soit une ou non. Il ne faisait que son devoir de soldat.


- Quel est ton prénom ? lança-t-il à tout hasard, se fichant éperdument des regards inquiets des villageois qui volaient du jeune soldat à la rejetone.


Le loup qui l'escortait s'arrêta et se retourna en même temps qu'elle pour se mettre en position défensive. Levant un sourcil interrogateur elle se fendit d'un sourire espiègle et répondit.


- Louve. Je m'appelle Louve.

vendredi 27 novembre 2009

Pep's


"Croire en qui, en quoi et pourquoi ? Un peu de pep's pour la suite des aventures..."

dimanche 15 novembre 2009

Sometimes, we dream... - Episode 1


Le vent soufflait un air tiède sur sa nuque. Le chant des oiseaux s'élevait au-dessus de sa tête et retentissait plein d'espoir dans la plaine. Au loin, les cloches des vaches que l'on rentrait dans les enclos résonnaient au milieu des aboiements des chiens de bergers. Si on fermait les yeux, la vie semblait, somme toute, paisible. Semblait seulement.
En ouvrant les yeux, elle ne pouvait éviter de poser son regard sur les patrouilles de soldats postées à chaque coin de rue. Une ombre dans ce tableau merveilleux, qui annonçait un malheur proche. La présence de la garnison royale présageait toujours un massacre sans nom à venir. Et pourtant tous les villageois continuaient leurs activités. Que pouvaient-ils faire d'autre ? Fuir ? Pour aller où ? D'un coté la misère de la capitale les attendait, de l'autre l'ennemi enfonçait peu à peu les frontières, rasant tout sur son passage.
Elle savait que son heure arriverait bientôt, et même le sourire compatissant du jeune soldat qui ne l'avait pas quitté pas des yeux depuis de longues heures n'y changerait rien.

Peut-on vraiment contrôler son destin ?

dimanche 8 novembre 2009

Pensée absurde

Une fois lancée, point de répit. Tenir sa position, absolument.
De l'imaginaire naissent des images, des sensations, des pulsions. De l'imaginaire nait le rêve. Mais quel rêve ? Celui d'un autre monde, d'une autre Lysiah, d'une autre histoire ? Sans aucun doute. Est-ce raisonnable ? Bien sûr que non. Alors il faut continuer de rêver, car le rêve alimente la réalité, le rêve, lui, n'est pas raisonnable, et surtout on ne le lui demande pas.


Le rêve des Hommes peut mener très loin. Comme le rêve de Napoléon ou encore celui d'Alexandre Legrand (pour n'en citer que les plus connus) fut de repousser les frontières de leur territoire, d'aller vers l'inconnu pour conquérir et s'imposer en maître. Quand le rêve frise la folie on est proche de la décadence. Toutes les grandes civilisations sont mortes. Une par une. Les Mayas, les Byzantins, les Romains, les Grecques, Les Royautés, ..., et aujourd'hui la démocratie ? Aucun doute, la fin est proche voire même déjà arrivée. Le glas a sonné depuis lors que la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire n'existe plus. Une démocratie "royautique", voilà ce que devient notre civilisation. Une fausse démocratie rassemblée autour d'un seul homme. Mais les règnes se finissent toujours. Et qu'est-ce qui succèdera à ce régime despotique ? Je dirais que c'est à nous d'en décider. De laisser les Hommes de pouvoir agir, ou bien d'agir nous même, dans l'intérêt de tous et pas d'une classe minoritaire, riche, arrogante, et si j'ose dire puante au possible. Qu'est-ce qui prendra la place d'une société mercantile où la futilité de certains passe avant la nécessité des autres.
Des pensées absurdes, dans un monde absurde... quoi de plus logiquement absurde ?

vendredi 6 novembre 2009

Lueur d'espoir - Episode 1


* Prologue *


Nous sommes en 2107. Déjà deux ans maintenant que le monde est plongé dans le chaos. Tout a commencé le 15 juillet 2105 lorsque tous les présidents des démocraties reconnues de ce monde furent assassinés. Le lendemain, des centaines de bombes nucléaires ravagèrent la surface de la terre, laissant des crevasses pleines de cadavres. Les retombées de cette catastrophe ne se firent pas attendre. Désormais l’Organisation Politique Pétrolière Internationale, le Groupement de l’Amérique Nord et l’Amérique Sud, le Parti Politique de la Nouvelle Génération, la Santé Sans Frontière pour l’Afrique, et la Technologie Universelle pour le Développement de l’Homme, s’affrontent dans une guérilla mondiale pour avoir la main mise sur tous les marchés et toute la population.
Ce que je raconte n’est pas un rêve, c’est la réalité, ma réalité. Mon histoire ne fait que commencer.


* Livre I *


Je cours. Les ruines défilent à toute vitesse. Je saute par-dessus un tas de ferraille. Je me remets à courir. Une ruelle se présente à ma droite : je la prends. Je cours toujours. Je peux les entendre derrière moi. La dernière fois ils étaient moins coriaces. Ceux-là n'ont pas l'air de vouloir me lâcher. J'arrive à un croisement et m'arrête essoufflée. Depuis une demi-heure que la chasse à l'homme a commencé, je cours à pleins poumons. Il me reste encore des forces mais je sais que je ne pourrais pas éternellement continuer à ce rythme.
- Elle est là !
Et merde ! Je me suis trop attardée. Je prends la rue d'en face et entre dans le premier bâtiment de droite. Je saute par dessus les gravas et me dirige vers l'escalier principal. A peine arrivée au deuxième étage mes poursuivants sont déjà dans le hall. Je jette un coup d'oeil au dessus des portes de l'ascenseur : quinze étages. Il ne m'en reste plus que treize. Je gravis les marches quatre à quatre sans un regard derrière moi. J'aimerais pouvoir me débarrassé de ma mitraillette et de mon sac pour aller plus vite, mais c'est ma seule survie, et j'ai bien failli y laisser ma peau pour avoir cette arme.
J'arrive enfin sur le toit de l'immeuble. Je regarde autour de moi. Il me reste quelques secondes pour pouvoir me sortir de ce merdier. J'aperçois un poteau électrique, en fer poli haut de quarante mètres, au milieu de la rue. Avec un peu d'élan je peux peut-être réussir à l'attraper. De toute façon c'est ça ou je me fais descendre. Je recule le plus possible, prends une dernière bouffée d'oxygène et m'élance. Au moment où mes pieds quittent le sol, les hommes envahissent le toit. Le choc avec le poteau électrique fait trembler mes os. Je m'agrippe fermement et contracte mes muscles à en attraper des crampes. Des salves de mitraillettes suivent ma descente. Quelques secondes plus tard je me remets à courir et m'éloigne de cet endroit.
Cette fois je les ai bel et bien semés. Par contre pas question de m'attarder ici, ils seraient capables de passer la ville au peigne fin pour me retrouver.


Et je vous présente une nouvelle héroïne dont l'histoire est déjà bien avancée sur le plan manuscrit, même si je ne suis pas encore arrivée à la fin du livre 1. Ce projet est en standby pour l'instant, car je ne peux être partout à la fois, même si l'idée de pouvoir me démultiplier me plairait plutôt bien ! J'espère que ça vous plaira et que ça vous donnera envie d'en savoir plus. Si c'est le cas je m'attellerai à dévoiler la suite avec quelques illustrations.
Une grosse pensée pour mes proches...

mercredi 4 novembre 2009

Fight

Batailler, encore et encore. Oublier les douleurs des combats menés. Oublier les humiliations des défaites. Aujourd'hui c'est l'heure de la renaissance.
Lysiah est anonyme, et le sang coulera sur les champs de bataille tant que son but ne sera pas atteint. Elle portera l'étendard Tourment quoi qu'il advienne, pour le pire mais surtout pour le meilleur, car nous ne sommes rien tout seul.


Un essai de colo à l'aquarelle sur un fond retouché. Sceptique, mais je ne baisse pas les bras de faire quelque chose de bien dans quelque temps.
Une lueur d'espoir se profile à l'horizon, il faut s'y accrocher et continuer à espérer. Toujours.

dimanche 25 octobre 2009

In my mind

Parfois on aimerait trouver les mots juste tout de suite. Parfois on aimerait savoir à l'avance comment les choses se dérouleront. Oui mais... On m'a appris qu'il y avait toujours un mais dans l'histoire. Ne pas regretter, avancer, évoluer, sans cesse.
Il y a souvent besoin de peu pour savoir que l'on aime et que l'on est aimé. La famille c'est peut-être le lien le plus fort qu'il puisse exister. La famille c'est tout ce qu'on a quand on perd beaucoup.
Une pensée de plus pour une famille qui est ballotée par les vents violents de La Série Noire. Cette fois on essayera de ne perdre personne en route et de sortir de cette tempête pour continuer notre chemin ensemble. Tenons bon !

lundi 5 octobre 2009

Les séries noires



Assise sur un cadavre de tronc d'arbre, la plaine s'étendait à ses pieds sur des kilomètres. Au loin elle entendait la marche sourde de l'ennemi qui avançait dans les terres de son pays. Penser à ce qui allait être détruit ne servait à rien. Penser à ceux qui allaient mourir ne la réjouissait pas. Le mieux était encore de ne penser à rien... ou presque.
Un picotement familier remonta le long de ses vertèbres. Elle avait espérer ne jamais le ressentir à nouveau. Il fallait se faire une raison.
Elle lâcha un soupir de lassitude et ramassa son paquetage qu'elle avait déposé au sol. Le contact du fourreau de l'épée le long de sa hanche lui rappela qu'elle n'en avait pas encore fini avec cette histoire. Un jour, elle retournerait définitivement chez elle... un jour.


Il y a des fois où on aimerait être ailleurs, vivre une autre vie que celle qui nous est proposée.
Et pourtant c'est la vie, la notre, et il nous appartient d'en faire ce que l'on veut. Tout est une question de choix. Ceux qu'on fait aux bons ou mauvais moments, qu'ils soient justes ou non. C'est ce qui façonne notre vie.
Aujourd'hui une vie part pour aller vers l'inconnu. C'est la loi des séries noires, ce qui me fait dire que si Dieu existait vraiment, il est impitoyable et certainement pas aussi clément qu'on aimerait nous le faire croire.
Mes pensées vont pour toi Gilles...

mercredi 23 septembre 2009

Destins croisés - Episode 3


La seule chose que j'avais à faire était d'infiltrer l'ennemi, d'obtenir toutes les informations existantes sur l'affaire des Cœurs Volés, de m'introduire dans les hauts-lieux de la Citadelle et de reprendre mon bien le plus précieux. Et bien entendu par la même occasion de libérer les autres Cœurs. Si je voulais prendre la bonne branche de l'avenir c'est ce que je devais accomplir.
La seule chose que j'avais à faire... était tout simplement impossible à réaliser. La Citadelle grouillait de gardes triés sur le volet, de Mages tous plus puissant les uns que les autres, et les plus terribles sortilèges épiaient les pensées de tout être vivant à l'intérieur de l'enceinte ainsi que dans un rayon de dix kilomètres.
Je me sentis soudain prise à la gorge par un destin qui m'échappait de plus en plus. Jamais je n'avais autant eu le sentiment que le contrôle de ma vie m'échappait. Comment me sortir de cette impasse ? Le Prophète avait pourtant vu qu'il existait un moyen de prendre la bonne voie. Mais j'étais seule, et cette fois je ne pourrai plus compter sur une aide opportune. Je devais me faire une raison.
Lasse, j'étouffai les dernières braises du feu de camp et rassemblai mes quelques affaires. Le contact de la lame de mon épée le long de ma cuisse me donna le courage nécessaire de me lever et de poursuivre mon chemin.

Une petite projection dans l'avenir, je n'ai pas encore la trame exacte de la suite de la première nouvelle, mais ça se dessine peu à peu dans ma tête...

vendredi 4 septembre 2009

Destins croisés - Episode 2


Comment avais-je pu en arriver là ?
Telle est la question que je me pose depuis quelques mois déjà. Qui aurait pu penser que je ferais partie un jour de l'Ordre des Templiers ? Sûrement pas moi. Pourtant le fait est bien là. Chaque jour je risque ma vie pour un homme qui m'a trahie. Où cela me mènera ? Je n'en ai aucune idée. Mais j'ai la conviction que mon destin est d'être là, de rester aux aguets et veiller à la sûreté du nouvel Empereur. Trop de choses dans ce monde dépendent de sa survie, et le Prophète avait confirmé mon sentiment. Sa survie est liée à la mienne, et je ne survivrai qu'en étant au front avec des frères d'armes qui ignorent tout de moi, jusqu'au son de ma voix.
Seule la présence de Taen, mon fidèle ami depuis le début me permet de ne pas sombrer dans la folie.
Peut-être est-ce la revanche que j'attends en regard de mon ancienne vie. Peut-être... mais peut-être pas. L'avenir est à ce point incertain que le Prophète le vît se diviser en de nombreuses branches. A moi de prendre la bonne et de garder le Cap. Pour quels desseins ?


Voici Eléonaure quelques année après le premier épisode. La première nouvelle est en cours d'élaboration. La trame est déjà tracée, "il ne reste plus qu'à" rendre le tout cohérent et commencer un gros boulot de réécriture dont je n'aurais probablement jamais le temps de faire.

mardi 25 août 2009

Terres Perdues - Sazia


Sazia
Âge :
18 ans
Nationalité : Indienne
Ville : Dubaï
Statut : Serveuse dans un hôtel cinq étoiles

Frère(s) et sœur(s) : Shaldam et Monaï
Mère : Décédée
Père : Nanda -
Voiturier dans un hôtel cinq étoiles


Voici pour les personnages féminins.
Le profil des personnages masculins est déjà fait. Il ne me reste plus qu'à passer aux dessins.

Terres Perdues - Philia

Philia
Âge :
18 ans
Nationalité : Espagnole
Ville : Tolède
Statut : Étudiante en médecine

Frère(s) et sœur(s) : Engie, Solena et Marco
Mère : Rebecca - Bibliothécaire
Père : Valério - Fonctionnaire en mairie

Terres Perdues - Klariss

Klariss
Âge :
19 ans
Nationalité : Allemande
Ville : Nuremberg
Statut : Étudiante en ingénierie

Frère(s) et sœur(s) : Fille unique
Mère : Claudia - Au foyer
Père : Günther - Militaire dans l'aviation

Terres Perdues - Ellie

Ellie
Âge :
17 ans
Nationalité : Américaine
Ville : Los Angeles
Statut : Étudiante en lettre

Frère(s) et sœur(s) : Fille unique
Mère : Nikki - Écrivaine
Père : Inconnu

Terres Perdues - Aydi


Aydi
Âge :
17 ans
Nationalité : Norvégienne
Ville : Oslo
Statut : Étudiante en journalisme

Frère(s) et sœur(s) : Borghild
Mère : Else - Journaliste pour magazine féminin
Père : Hakon - Commerçant dans une bijouterie de luxe

Terres Perdues - Mirizi

Mirizi
Âge :
16 ans
Nationalité : Japonaise
Ville : Nagoya
Statut : Lycéenne

Frère(s) et sœur(s) : Fille unique
Mère : Nayoko - Restauratrice
Père : Kenji - Avocat

Terres Perdues - Lou

Lou
Âge :
16 ans
Nationalité : Anglaise
Ville : Londres
Statut : Étudiante en illustration

Frère(s) et sœur(s) : Harry
Mère : Cassie - Conservatrice de musée
Père : Duncam - Critique littéraire

Terres Perdues - Tiziana

Tiziana
Âge :
19 ans
Nationalité : Marocaine
Ville : Casablanca
Statut : Étudiante en comptabilité

Frère(s) et sœur(s) : Laïla, Fathia, Dihya, Himaya, Bazil, Ghalib, Fadel et Ikram
Mère : Madja - Au foyer
Père : Ousseid - PDG d'un grand groupe d'hôtel de luxe

Terres Perdues - Théodora

Théodora
Âge :
21 ans
Nationalité : Italienne
Ville : Ardore
Statut : Esthéticienne

Frère(s) et sœur(s) : Calipsa et Fénicia
Mère : Dafne - Commerçante dans un tabac
Père : Michele - Commerçant dans un tabac

Terres Perdues - Ulline

Ulline
Âge :
19 ans
Nationalité : Serbe
Ville : Grenoble
Statut : Caissière

Frère(s) et sœur(s) : Fille unique
Mère : Inconnue
Père : Inconnue

lundi 17 août 2009

Repose en paix...


C'est juste un rêve. Un mauvais rêve dont on aimerait se réveiller... rapidement. Mais rien ne se passe. Le temps défile, et la réalité s'impose. C'est finit. Ce ne sera plus jamais comme avant. Le temps défile, et la réalité éclate. Pour une fois Lysiah ne pourra pas se sortir de cet univers pour plonger dans un autre et oublier ce mauvais rêve. Cette réalité là ne s'effacera pas. Cette réalité c'est le deuil qui commence... et les souvenirs qui remontent peu à peu.


Repose en paix...
Tu seras à jamais dans mes pensées...

jeudi 30 juillet 2009

Terres Perdues - Cléo

Cléo
Âge :
15 ans
Nationalité : Suisse
Ville : Fully
Statut : équivalent d'une lycéenne en seconde générale

Frère(s) et sœur(s) : Filsi
Mère : Laura - Banquière
Père : Stephan - Professeur en économie



Terres Perdues...
Les vingt-quatre descendants des Chevaliers de la Table Ronde enfin réunis. Douze jeunes filles, douze jeunes hommes. Tous enrôlés dans une légende qui les dépasse depuis des centaines d'années, et dont ils ne maîtrisent rien. Un seul homme tire les ficelles... Merlin. Mais pour combien de temps encore ?



Pour l'instant je n'ai travaillé que sur les personnages féminins - en terme d'illustration, qui seront présentés un à un.

mercredi 29 juillet 2009

Terres Perdues - Lyria


Lyria
Âge : 17 ans
Nationalité : Française
Ville : Créteil
Statut : Lycéenne en terminale L

Frère(s) et soeur(s) : Jeremy
Mère : Décédée à la naissance de son frère
Père : Décédé un an après la mort de sa femme
Belle-mère : Anna-Maria - Secrétaire


La brosse glissa dans les cheveux blonds de Lyria. Devant elle Jeremy, son frère de six ans, faisait des mimiques grimaçantes en la regardant à travers la glace. Elle sourit. Anna-Maria sa belle-mère s’était levée avec l’humeur de ses mauvais jours comme cela lui arrivait fréquemment. Tôt dans la matinée alors que Jeremy faisait ses premières tartines de confiture il avait renversé le pot sur la nappe blanche de la table. Et comme tous trois étaient en location le temps des vacances, cela supposait de racheter une nappe neuve. Les finances d’Anna-Maria étant restreintes, elle était entrée dans une colère noire après le petit garçon et l’avait giflé. Lyria s’était démenée pendant une heure pour le faire sourire et oublier la gifle cuisante. Entre-temps elle avait détendu l’atmosphère en promettant à sa belle-mère de participer à l’achat de la nappe neuve. Elle n’aimait pas Anna-Maria mais ils ne leur restaient plus qu’elle. Lors de l’accouchement de Jeremy sa mère décéda suite à des complications, elle n’avait alors qu’une dizaine d’années et n’avait pour tout souvenir que ses yeux verts. Son père s’était rapidement remarié l’année suivante mais il décéda à son tour d’un infarctus quelques temps après. Du coup Anna-Maria qui n’aimait guère les enfants s’était retrouvée avec la charge de Lyria et de Jeremy.
Néanmoins l’incident de la nappe et de la confiture ne changea pas les plans de la journée. Vers dix heures ils quittèrent Mauron où Anna-Maria avait trouvé une petite location deux pièces. Ils empruntèrent la D2 à bord de la vieille Renault 205 blanche et au bout d’une trentaine de minutes en voiture ils arrivèrent devant le château de Comper-en-Brocéliande. Le parking étant plein, Anna-Maria alla se garer sur le bas de la route un peu plus loin. Au guichet elle paya pour une visite du château seule car en début d’après-midi elle avait prévu d’aller au cinéma. Elle tint quand même à aller jeter un coup d’œil au lac derrière le château. Ses cheveux roux hirsutes voltigeaient autour de sa petite tête ronde alors qu’elle s’émerveillait devant la beauté de la nature. Jeremy, quant à lui couinait qu’il voulait aller aux toilettes et Lyria se vit dans l’obligation de l’accompagner. Quelques minutes plus tard, après avoir rejoint Anna-Maria dans la cour, elle poussa la porte du château mais visiblement elle venait de bousculer quelqu’un.
- Pardon, je suis désolée.
- Ce n’est rien, grommela un jeune homme en fourrant ses mains dans les poches de son jean.
- Messieurs, Dames, s’il vous plait ! C’est ici que commence la visite du château de Comper-en-Brocéliande. Vous ne le saviez peut-être pas mais d’après les légendes arthuriennes c’est ici que …
Mais Lyria avait déjà décroché. Le guide, un homme d’une cinquantaine d’années parlait sans conviction et elle sentait qu’il avait appris son baratin par cœur. Son esprit s’évada et elle se perdit dans la contemplation des différentes pièces du château.


Un autre univers imaginé par Lysiah. Comme si ses univers virtuels ne suffisait plus, il faut en plus qu'elle cherche à inventer des histoires, des mondes, des personnages, et des intrigues. Je ne sais pas où ça me mènera. Pas très loin sans doute... ou bien...

lundi 27 juillet 2009

A la vie !


Lysiah, quelque soit l'univers virtuel qu'elle parcours, ne craint pas la mort. Parfois suicidaire, elle gagne rapidement le front, se lançant souvent dans des combats perdus d'avance. Mais peu importe. Elle sait qu'elle reviendra. Toujours. A la pierre de bind, au cimetière, ou encore grâce à une résurrection. Pour recommencer la même chose, ou engager une autre bataille. Alors qu'est-ce que signifie la mort dans le monde virtuel ? Rien, c'est quelque chose d'impalpable, qui n'existe, à vrai dire, pas du tout. Seul un mal de résurrection peut éventuellement laisser la trace d'un trépas.


Mais il y a des combats desquels on ne se relèvera peut-être jamais. Des combats où il n'y a que deux issues. Où l'on aimerait aider l'être cher. Mais il n'y a rien d'autre à faire que d'être là, de regarder et d'attendre.
Et je ne peux espérer qu'une seule chose... gagne ce combat !
Nous serons fort pour toi.

vendredi 24 juillet 2009

Certitudes et incertitudes...


Un futur incertain... c'est la seule certitude que nous ayons.
Quel avenir avons-nous ?

mercredi 22 juillet 2009

Age of Conan - Un retour en quatre étapes...

1. On commence par un crayonné...




2. Ensuite on passe à l'encre...


3. Puis on met en couleur sur photoshop...


4. Et enfin on retire les traits...



Voilà on est enfin prêt pour s'immerger dans l'univers impitoyable d'Age of Conan, et cela donne...



Une barbare Aquilonnienne à la recherche de son passé.
Échouée sur une plage, elle n'a aucun souvenir. Qui est-elle ? Quel est son destin ?
Autant de questions dont les réponses se trouvent dans les basfonds de Tortage, au plus profond de la nuit. Si son passé est déjà écrit, son avenir est encore incertain. Quelle voie suivra-t-elle...


Un retour sur AoC pour voir l'évolution du jeu. A la release, les 20 premiers levels étaient tout simplement bluffants. Une multitude de quêtes, une multitude de personnages, un environnement ultra immersif. A part quelques bugs "normaux", pour une release c'était vraiment réussi.
Mais les choses se sont vite gâtées. Passé le niveau 40, dur dur de trouver des quêtes intéressantes, le leveling s'est fait surtout à grand renfort de mob bashing, ainsi que des rares quêtes répétables.
La promesse d'un mmorpg orienté pvp semblait non tenue. Aucun contenu hight level, que ce soit en pvp ou en pve. Dommage car ça commençait bien.
Et comme ce jeu m'avait beaucoup plût dans son aspect graphique très réaliste, aussi bien parce que le cheval ne fait pas demi-tour de manière instantanée et totalement impossible dans la réalité, que par les paysages riches et fouillés, ou encore une personnalisation des personnages très poussée, j'y suis revenue, pour 14 jours gratuits. Ben oui, autant en profiter, n'est-ce pas ?


Pour l'instant, retour avec ma Prêtre de Mitra level 76 dans la zone de Kheshatta. Et oui, je n'ai jamais réussi à avoir le set complet de cette zone. M'enfin je pense qu'il y a maintenant plus intéressant en terme de stuff. A part des lags plus ou moins importants et le camping de péons à l'entrée de la zone, c'est un gameplay très agréable à reprendre en main. Il me tarde d'aller voir les ajouts des zones pvp, avec la possibilité de construire des villes, de faire des sièges, etc.
Et puis je teste un peu la classe de barbare. C'est bourrin, c'est bien, ça me change des classes de soutient.

dimanche 19 juillet 2009

Destins croisés - Episode 1

Je soupirai, quelle nuit étrange… Mon regard se perdit par la fenêtre. L’aube pointait à l’horizon entre les deux grands immeubles de la Tour des Emissions et de l’Empire Economique, pour répandre une lueur verdâtre dans les rues. Le flot de voiture grossissait lentement, et quelques passants couraient d’une voie à l’autre sous la brume de la pollution. Je n’avais jamais aimé cette Cité, tout y transpirait le stress, l’aigreur de la vie, et les effluves âcres que rejetaient les innombrables bouches d’égouts. Comment avait-on pu en arriver là ?

Lysiah se met parfois à imaginer la vie d'une autre femme, dans un autre monde. Eléonaure. C'est comme cela que cette autre femme se nomme. Eléonaure comme Lysiah passe d'un monde à un autre. La différence ? Eléonaure ne contrôle rien. Mais on peut se poser la question, à savoir si Lysiah contrôle ses passerelles d'un univers à l'autre. Pas si sûr. Parce que Lysiah c'est moi... mais pas tout à fait, c'est un moi virtuel qui tente d'exister par sa propre histoire, indépendamment de la mienne.
Les aventures d'Eléonaure sont en cours d'élaboration. Une ébauche de la première nouvelle est déjà fini, mais beaucoup de modifications et d'ajouts doivent être apportés. La deuxième nouvelle est en cours de réflexion.
A terme ? La conception d'un univers parallèle, avec ses personnages, son histoire, et surtout son avenir.
C'est peut-être un rêve fou, mais seuls les rêves nous font avancer.

dimanche 12 juillet 2009

Team Fortress 2 - Episode 2

tmt `Lysiah ou le Pyro au féminin.
Quand l'envie d'un bon barbecue se fait sentir, Lysiah n'est jamais loin pour rôtir les fesses de ceux qui n'ont pas eu le temps de se replier. Pas de pitié pour la viande fraiche !


Hé oui, le jeu c'est ça aussi. On pense quitter le mode "bourrin" pour finalement en retrouver un autre. Hé oui, le jeu c'est plein d'illusions. Peut-être même plus d'illusions qu'au cinéma, parce qu'à l'inverse du cinéma, dans le jeu on est acteur. On se donne le rôle que l'on choisit. Alors finalement, peut-être que non, le jeu ne fait pas tellement illusion sur ce que l'on est...

mardi 7 juillet 2009

Team Fortress 2 - Episode 1

tmt `Lysiah ou le Heavy au féminin.
Elle abandonna l'arrière réservée aux Médics pour se retrouver au front, en première ligne. Quelle expérience enivrante de savoir qu'elle puisse être capable de dominer la partie tout camp confondu ! Les hauts faits d'arme s'enchainent et l'ivresse du combat la pousse à aller chercher l'ennemi chez lui, devant ses portes. Pas de pitié pour ceux qui se trouveront sur son chemin...


*Soupirs*
La frontière entre le rêve et la virtualité est-elle si palpable qu'elle en a l'air au premier coup d'oeil ? Pas si sûr...

mardi 30 juin 2009

Souvenirs de Glastonburry - Episode 2

Des semaines plus tard la guilde Tourment forte d'une quinzaine de vaillants combattants poursuivait sa quête de l'équilibre dans les plaines de Glastonbury.
Leurs faits d'armes s'étendirent jusqu'aux contrées d'Hibernia, prenant en siège les forts de Dun Crauchon, Dun Crimthainn et Dun da Behnn repoussant leurs ennemis jusqu'à Dun Bolg. Tourment pris position à Dun da Behnn et soutint les forces d'Albion du mieux qu'ils purent.
Lysiah quant à elle pris encore du galon et se hissa au rang de Gryphon Knight. Elle se fit fabriquer un nouvel équipement à l'aide d'un armurier et d'un joaillier légendaire et gagna encore en dextérité et concentration.
Plus convaincue que jamais que ses services auprès de l'ordre des Clercs étaient vitaux auprès de ses amis, elle n'hésitait jamais la veille d'une bataille. Sa détermination et celle de ses frères d'armes faisait trembler plus d'un ennemi, et les hauts faits de Tourment étaient chantés parmis les glorieuses vicoires que comptait leur alliance.
Midgard pendant l'absence de la plupart des forces d'Albion, avait envoyé quelques raids piller le fort de Benowic. L'armée en garnison avait tant bien que mal repoussé l'invasion mais les soldats avaient besoin d'aide. L'alliance dû donc abandonner l'invasion d'Hibernia pour protéger ses terres et son peuple des hordes Midgardiennes.


Les cors de guerre résonnaient encore dans ma tête lorsque l'alliance arriva en vue de Benowic pour prendre à revers les forces de Midgard, qui tenait le siège depuis plusieurs jours. C'était l'heure du repos de la guerrière pour reprendre des forces avant une longue journée de cours.

vendredi 26 juin 2009

Souvenirs de Glastonburry - Episode 1


Longtemps Lysiah arpenta la zone frontière de Glastonbury sous l'étendard noir de Tourment. Au sein de l'alliance, la jeune guilde grandit et Lysiah rejoignit l'ordre des clercs.
La quête de l'équilibre la poussa à batailler férocement contre les hordes armées de Midgard et Hibernia. Protéger les terres d'Albion était indispensable pour maintenir le royaume dans la lumière. Nombreuses furent les fois où Benowic et Boldiam furent aux mains de l'ennemi, et nombreuses furent les fois où tous les étendards d'Albion se rassemblèrent pour reprendre ce qui leur appartenait de droit. Les châteaux d'Excalibur et Myrddin furent assaillis à leur tour et défendus avec férocité et vaillance pour préserver les reliques des blasphémateurs.
Spécialisée dans les soins et les améliorations de compétence Lysiah apporta tout le soutient qu'elle pu donner à ses compagnons de combat, soulageant les blessures des Maîtres d'Armes, des Paladins, des Fléau d'Arawn et des Mercenaires, protégeant les Cabalistes, les Sorciers, les Théurgistes, les Thaumaturges, les Prêtres d'Arawn et les Ménestrels. Les combattants solitaires qu'étaient les Sicaires et les Eclaireurs vinrent leur prêter main forte et Lysiah leur donna force, dextérité et vivacité pour une lutte sans merci.
Petit à petit la jeune femme progressa et passa du rang de Warder à celui de Myrmidon. Mais la route était encore longue dans les méandres d'un monde sans cesse déchiré par la guerre.


Je revins à la réalité et enfouis mes souvenirs dans un coin de ma pensée. Mais l'image de Lysiah flotta encore un instant devant mes yeux.

jeudi 25 juin 2009

Rêve d'été


Quand ses pas foulèrent la terre meuble, elle su qu'elle était enfin arrivée à destination. Harassée par les semaines de voyage qui l'avaient menée jusqu'ici, une lueur d'espoir brilla dans son âme.
Peut-être...
Mais il était trop tôt pour crier victoire. Déjà le cor de bataille résonna au-delà des plaines et des vallées, remettant à plus tard ses pensées vagabondes. La bride de sa monture à la main elle se dirigea vers le camp qui se dressait en contrebas. Les sentinelles...


Le réveil fût brutal. Les dernières brumes de mes rêves s'évaporèrent doucement, emportant le son des pas de Lysiah dans mon inconscient.

Lysiah






Parfois étudiante, parfois rêveuse, parfois snipeuse, parfois scoot, parfois clerc ou pretresse, parfois templier noir, parfois victorieuse ou vaincue sur un champ de bataille ou dans ses songes.
Lysiah c'est un peu tout ça à la fois.
Lysiah c'est mon pseudonyme, mon autre moi, des milliers d'univers parallèles à un quotidien qui pourrait devenir un univers parmi tant d'autres.


Bienvenue dans le monde virtuel !